L'acétylcholine est un neurotransmetteur important impliqué à la fois dans la contraction musculaire et dans l'anxiété. Un manque d'activité musculaire provoquerait un surplus d'acétylcholine qui serait anxiogène.
L’anxiété humaine serait donc générée, en partie, par un déséquilibre entre activité neuronale, trop importante, et activité musculaire, trop peu importante.
Le fait de conclure une pensée par une action, par un mouvement musculaire, par exemple de noter ses idées dès leur apparition, une activité musculaire, rétablit l’équilibre et diminue l’anxiété.
Pratiquer 20 minutes d’activités physiques significatives juste à la fin de la journée rétablit aussi cet équilibre.
Si cet équilibre n’est pas rétabli volontairement, le cerveau va bouger des muscles involontaires de type muscles spinaux ou digestifs, avec les effets néfastes liés, maux de tête, de nuque, de dos et brulures d'estomac.
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