Comment favoriser son intelligence ? En l’aidant de 36 façons.

1. Elle est facilement distraite. Une voix humaine entendue au travail peut vous priver d’un tiers de vos capacités. Une interruption, jusqu’à un quart. Travaillez plus souvent protégé des voix, des visages et des interruptions.

 2. Elle est facilement influençable. Un discours, un site de vente bien fait peut distraire jusqu’à la moitié de votre intelligence. N' achetez jamais immédiatement, réfléchissez bien. Ne faites pas d'achats hors de votre liste de courses. Ne changez pas votre liste d'achat dans le magasin, c'est le plus mauvais endroit pour être intelligent.

3. Elle est lente. Si vous faites tout, un tout petit peu plus lentement, la qualité de votre travail augmente. Si c’est important, passer de la communication orale à la communication écrite. « Ta question est importante. Tu peux me l’envoyer par écrit ». Utilisez plus souvent votre répondeur, votre réactivité diminue un peu, la qualité de votre réponse augmente beaucoup. Ne jamais envoyer vos messages importants le jour même.

4. Elle ne peut traiter qu’une petite partie des informations reçues. Ne pas se plaindre d’avoir trop de travail, décidez plutôt de vos priorités.

5. Elle se drogue. Elle devient vite dépendante d’une drogue sans substance, les messages, les nouvelles. Si vous commencez la journée par la lecture de vos messages, elle vous y ramènera constamment et vous finirez en ne sachant plus quoi faire sans qu’un message ne vous fasse agir. Planifiez une seule session par jour de lecture de tous vos messages. Si possible, pas pour commencer la journée. Pour votre intelligence, la première chose de la journée que vous faites sera catégorisée comme "vitale" et votre intelligence vous y ramènera sans cesse.

6. Elle veut s’occuper de tout. Même de ce qui ne vous intéresse pas pour l’instant. Travaillez sur un bureau dégagé. Avant d'arriver au bureau, dites-lui clairement ce que vous voulez que soit "l'affaire du jour", la chose la plus importante que vous seriez fier d'avoir terminé avant ce soir. Si vous ne lui "imprimez" pas cela clairement avant d'entrer au bureau, elle fera surtout ce que les autres lui diront de faire.

Comment favoriser l'intelligence collaborative d'entreprise ? En tenant compte des facteurs humains pour rendre le travail plus valorisant

1. Pour augmenter la cohésion d'équipe, vérifier que chacun connaît bien les six objectifs chiffrés de chacune des personnes avec qui il collabore. Et ceux du niveau supérieur.

2. Pour réduire les conflits, demander à chacun s'il n'a pas d'objectifs personnels qui puissent mettre en danger les objectifs communs de l'équipe, et de l'entreprise, avec laquelle il travaille.

3. Pour favoriser l'intelligence collective, demander à chacun d'ouvrir son agenda automatiquement à ceux avec qui il collabore le plus fréquemment.

4. Pour favoriser la délégation, s'assurer que soit à jour les check-lists des procédures locales coordonnant les équipes.

5. Pour rendre le travail plus intéressant pour tous, s'assurer qu'aucune tache n'est en dehors d'un processus ou d'un projet bien défini avec chacun son objectif principal et son responsable principal.

6. Pour rendre le travail plus motivant, s'assurer d'avoir éliminé toutes les taches qui n'apportent plus de valeurs aux clients internes ou externes.(17 % des taches d'une entreprise d'après les statistiques)

Comment défendre le consommateur ? Comment adapter la communication et les produits au consommateur ?

Par la connaissance de quelques hypothèses bien fondées sur les mécanismes de l’intelligence humaine lors de l’achat.

1. Donner le bon poids aux produits. Avant de saisir un objet, le cerveau fait un pari sur son poids. S’il est surpris par le poids réel, il émet un signal de discongruence défavorable à l’achat. Ce poids idéal à donner à un produit est mesurable.

2. Donner la bonne forme aux textes. Vérifier l’index de lisibilité et de mémorabilité de vos textes avant de les communiquer. Par exemple, le cerveau retient mieux les textes dont les titres sont des questions.

3. Donner la bonne forme aux images. Par exemple, le cerveau retient mieux les images qui comportent des formes humaines avec signaux de mouvement et d’intention.

4. Adapter les messages et communications aux résultats des tests d’intelligence de votre cible. On ne s’adresse pas de la même façon à un segment de QI 110 et à un segment de QI 130. Par exemple, l’index de complexité de la communication et du produit devra avoir des résultats différents selon les résultats aux tests d’aptitude de la cible.

5. Pour augmenter le temps de contact client, donner à vos points de vente, physiques ou virtuels, de grandes entrées et de petites sorties.

6. Pour les communications sur les réseaux sociaux, calculer leurs index de contagiosité avant de les diffuser. Par exemple, mesurer le potentiel de viralité par la proportion des éléments mentalement saillants.

 

Une nuit trop courte ne se rattrape pas. Même en dormant plus le week-end.

Si vous n'avez pas donné à votre cerveau les heures de sommeil indispensables à son entretien, entre 7 heures et 9 heures selon les personnes, ses neurones en meurent.

Qu'est-ce qui fait un héros mémorable ? Un test de Karasek de plus de 15 / 20

Un des facteurs principaux de satisfaction des audiences larges pour un divertissement est la tension, le stress qu'elles en ressentent. Pour que l'audience ressente ce stress, il faut que le héros, auquel on l'aura au préalable asservie par techniques d'identification et de contagion, soit lui-même stressé.

Augmenter les temps de contact client. Une étude rigoureuse

Augmenter la durée de contact entre un client et un produit augmente la probabilité d'achats. Le site, le magasin, physique ou virtuel, les jeux vidéo, qui sont des sites de vente comme les autres, sont  étudiés pour retenir le visiteur le plus longtemps possible, pour maximiser la durée de contact entre acheteurs et produits.

Qu'est ce qu'un bon divertissement ? 200 points d'astreinte.

La satisfaction des audiences larges est en partie due à l'excitation, à la tension, au stress qu'elle ressentent à la réception du contenu qui leur est envoyé. L'astreinte est la quantité d'incertitude générée par le contenu pour produire ce niveau cible de stress, de tension dramatique, de suspense.